Loli Torrecillas : "Je cours mieux en montagne".

Notre partenaire à Plameca Loli Torrecillas pariez sur le en cours d'exécution il y a un peu plus de trois ans. Ses jambes étaient déjà prêtes à relever de grands défis, puisqu'il pratiquait le VTT depuis plus de huit ans. Comme coureurElle est fière d'avoir couru en un peu plus de 7 heures la course de Valls d'Àneu (45 km avec 2 200 mètres de dénivelé positif), dans les Pyrénées de Lleida. Il nous explique aujourd'hui comment il s'entraîne pour relever ses prochains défis.

Combien de jours par semaine allez-vous courir ?

-Je cours entre 3 et 5 jours par semaine, en fonction des courses que je prépare. En semaine, je peux m'entraîner pendant une heure et demie au maximum. C'est le week-end que j'essaie de courir le plus longtemps possible, entre trois et quatre heures. Si je me prépare pour un marathon, j'ai besoin de fatiguer mes jambes pendant un certain temps et, lorsque le jour de la compétition approche, de les laisser se reposer davantage.

Parlez-nous de vos sessions de formation.

-Je vais généralement courir seul. Si j'emprunte des itinéraires connus, j'essaie de noter mon temps et d'écrire mes relevés. Néanmoins, je préfère me laisser guider par mes propres sensations. Pour moi, il est préférable de courir à un rythme qui me convient et de ne pas être plus épuisé que je ne le devrais. Ainsi, je peux tenir les kilomètres que je veux faire et pousser l'allure dans la dernière partie.

Courez-vous en ville ou dans un environnement naturel ?

-Je préfère la montagne. Depuis mon plus jeune âge, j'ai toujours aimé la montagne et je pense que c'est là que je suis le plus performant. Sur l'asphalte, l'impact sur les articulations est plus important et il est plus facile de se blesser.

Notre collègue de Plameca, Loli Torrecillas, est coureuse depuis plus de trois ans.
Notre collègue de Plameca, Loli Torrecillas, est coureuse depuis plus de trois ans.

Que faites-vous pour prendre soin de vos articulations ?

-Il est très important de s'étirer après avoir couru. Je peux même m'arrêter et m'étirer pendant un marathon si je sens qu'un muscle est raide.

-Je suppose que la nutrition est également très importante pour un coureur comme vous.

-Oui, c'est vrai. Je prends généralement beaucoup de vitamine C (poivrons rouges, kiwis et jus d'orange), qui est très importante pour les articulations, car elle aide à mieux absorber le collagène. Les fruits secs comme les dattes et les abricots secs sont des hydrates de carbone qui fournissent beaucoup d'énergie. Le germe de blé et la levure de bière renforcent mon système immunitaire. Si je me prépare à un marathon, je mange beaucoup d'hydrates de carbone. Après les compétitions ou les entraînements, je mange beaucoup de protéines et de glutamine pour récupérer. Je n'ai pas d'aliments interdits, mais je ne mange jamais d'aliments frits.

Prenez-vous des compléments alimentaires ?

-Quand je sors pour une longue course et que je n'ai pas d'eau, je prends des gels énergétiques mous, avec des hydrates de carbone, de la glutamine, du sodium, des électrolytes... Je prends aussi du magnésium sous forme liquide, pour ne pas souffrir des rampes et pour éviter que mes muscles ne manquent de sels minéraux. Et en ce qui concerne le collagène, je prends notre Curarti Selectium.

La coureuse Loli Torrecillas en pleine compétition.
La coureuse Loli Torrecillas en pleine compétition.

Comment récupérez-vous après un gros effort ?

-Protéines et glutamine, beaucoup d'étirements et de physiothérapie.

-Quel est votre prochain défi ? 

-Le Buff Epic Trailqui aura lieu le 20 juillet. Je vais courir un marathon de montagne de 42 km qui passe par la vallée de l'Orne. Parc national d'Aigüestortes et du lac de Sant Mauriciavec un dénivelé de 3 200 mètres. L'objectif est de descendre à 8 heures.

Nous vous souhaitons encore beaucoup de succès !

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